
« On News Year’s Eve, Belinda Carlisle and Rufus Wainwright will sing classic French cabaret songs and more accompanied by a Parisian band and dancers in Los Angeles, Walt Disney Concert Hall ».
Et j’y allais. Finalement.Dans l’après-midi, à MCTbold Management, Helena avait pris le relais de Paula qui jusqu’ici s’était démenée depuis le moyen-orient et m’avait rappelée deux fois. La première pour nous dire qu’elle avait aussi deux places pour ma soeur américaine et son mari mais pour la représentation de 19h. La deuxième, pour dire que puisque nous n’avions besoin que de deux billets (Kristy avait dû abandonner faute de baby-sitter disponible un soir de réveillon), elle avait pu nous en obtenir deux pour le concert de 22h30 à retirer à l’accueil en arrivant. Elle me propose de m’envoyer toutes les informations par mail et, comme je lui demande des nouvelles de Barry (il est le seul du staff management que j’ai réellement rencontré), me dit qu’il sera justement à Los Angeles ce soir et le met en copie. Je réponds en remerciant tout le monde mille fois, et en écrivant à Barry que j’espère le voir au concert.
Kristy, de son côté, ne me parlait que de Belinda Carlisle et du groupe au sein duquel elle se produisait dans les années 80, les « Go-Go’s ». Son nom ne me disait rien de rien, soit ; mais aux Etats-Unis apparement elle était quelqu’un ! Il s’est avéré qu’elle vivait en France depuis 1994, et venait de sortir un album de reprises en francais, d’où l’idée de ce concert du nouvel an qu’elle avait voulu tout en français également. Elle avait proposé à Rufus, francophone et auteur de plusieurs chansons dans sa langue de prédilection, de l’accompagner.
Le Walt Disney Concert Hall, comme son nom ne l’indique pas, est situé au coeur de Los Angeles et non dans l’enceinte du parc Disney Land. L’architecture, tant extérieure qu’intérieure est à la fois somptueuse et très moderne.
A l’accueil, une surprise de taille nous attend. Car la femme qui, au guichet, nous remet les places, nous dit : » So, here are your 2 tickets to the show, and your all-access pass ».
Boum. « Your all-access pass ». Boum Boum. Presque, je lui ferais répéter. Boum Boum Boum. Personne n’a jamais mentionné un accès back-stage. Et moi qui fait toujours de mon mieux pour laisser penser que ce genre de choses n’a rien de véritablement impressionnant, j’avoue que j’accuse le coup. Je pense que je n’ai rien amené, que je n’ai rien à lui dire, que je vais me sentir tout sauf à ma place, que ça va être horrible ; enfin bref, panique à bord.
Je reprends mes esprits et nous allons nous installer. Le public est plutôt beaucoup plus âgé qu’un public habituel de concert. Les dames du troisième âge déambulent dans les allées en manteau de fourrure et mise en plis, et devant nous un vieux monsieur au fort accent russe se racle la gorge et tousse bruyamment. On voit chez les jeunes femmes deux ou trois robes longues, mais l’ensemble est relativement décevant pour une soirée du nouvel an dans un pourtant si bel écrin.
L’orchestre nous accueille par un long instrumental. Puis Belinda Carlisle fait son entrée sous un tonnerre d’applaudissements. Je suis étonnée de la voir. Au vu de la taille respective de leurs noms sur le ticket, je m’imaginais Rufus faire une première partie et débarquer à sa place.
La belle a beau approcher les 50 ans (qu’elle atteindra cet été), vue de mon siège elle en fait bien 15 de moins. Ses cheveux sont tirés en arrière et noués en un chignon de danseuse étoile qui met en valeur son très beau visage. Elle porte un ensemble noir fluide haut et pantalon plutôt plus décontracté qu’habillé. Elle est très sympathique mais je suis tout sauf objective et je n’attends que Rufus, tandis qu’elle nous sert une pale copie de chansons de grands chanteurs francophones avec un accent qui rend les paroles incompréhensible. Elle reprendra notamment « Sous le Ciel de Paris » (Hubert Giraud, Jean Drejac), « La Vie en Rose » (Édith Piaf, Louiguy, Mack David) et pire encore « Avec le Temps » (Leo Ferré), qu’elle massacre avec application – de mon point de vue. Mais dans la salle des fans sont venus pour elle et hurlent : « on t’aime Belinda », tout en applaudissant copieusement. » You know you are a sad fan when… » Mouais. On y est.
A ma grande surprise, elle ne chante pas si longtemps, et après un excellent intermède instrumental de Django Reinhart, Rufus arrive à son tour. Il porte un costume argent qui brille de mille feux et que je ne lui ai encore jamais vu, une chemise blanche à jabot, et ses éternels sabots.
Il entame sa partie avec « Leaving for Paris » qu’il va, et j’en suis bien fâchée, finir par me faire aimer. Son jeu de piano est simplement excellent, les arrangements l’embellissent absolument, et il tient la note finale (« Good Byyyyeeee ») si longtemps que j’en ai le souffle coupé. Je parviens à voler une photo mais guère plus car une femme est assignée à ma rangée avec la mission divine de surveiller les appareils photo. Elle fait si bien son « job » je n’ai même pas pu prendre l’interieur de la salle à mon arrivée…
Il enchaine avec « la complainte de la butte » puis « Moon over Miami », accompagné d’une amie francaise qui vit à Los Angeles depuis qu’elle est enfant « mais est restée aussi française que possible », nous assure-t’il. La jeune femme a une bien jolie voix, mais bien trop douce pour ne pas se laisser écraser par l’image d’une Martha qui nous manque bien dans ces moments-la…
Vient ensuite un moment de pur délire avec une chanson québécoise pendant laquelle il veut faire participer les spectateurs. Sacré challenge puisqu’il s’agit de répéter chaque phrase alors que les paroles sont en français et que des Français, à part nous et deux musiciens, la salle ne doit pas en compter des masses. Il en faudrait plus pour le décourager. Il se met à raconter en anglais toute l’histoire de la chanson (« C’est une petite vieille que l’on à place à côté d’un jeune homme qui lui dit : désolé je n’épouse pas les vieilles », etc …) – tout le monde se tord de rire. Le moment est génial. J’ai des preuves que je vous réserve pour un peu plus tard (mais pas de video malheureusement).
Il continue à amuser la galerie en présentant « Minuit Chretien » dont l’auteur « a été excommunié ». Tout en profitant de l’occasion (ben oui, à propos d’excommunication) pour la dédier à Jorn, « mon boy-friend, qui est dans la salle. I love You Jorn ! ». Et bing, un peu de politique sans avoir l’air d’y toucher. Bien vu !
Rufus est un amuseur, un militant, mais aussi et surtout un fantastique artiste. Son « Minuit Chretien » est époustouflant. Il a une voix tellement incroyable que j’ai l’impression d’être comme Julia Robert à l’opéra dans Pretty Woman. Sa voix remplit l’espace et nous remplit aussi. Je suis toujours étonnée de ces instants, qui restent rares et d’autant plus précieux, où une voix nous fait gonfler la poitrine à nous donner l’impression d’exploser, où une intensité dans le chant nous fait frissonner et se dresser les poils sur tout le corps.
Après ça, plus grand chose n’a d’importance.
Rufus est ensuite rejoint par Belinda pour une reprise de « Bonnie and Clyde » en amateur, suivie d’une chanson en anglais, peut-être l’une des siennes cette fois.
Puis ils quittent la scène et cèdent de nouveau la place aux musiciens (excellents tout au long de la soiree, avec mention spéciale pour le pianiste, probablement connu si on juge selon l’applaudimètre) avant de revenir, pour le décompte des douze coups de minuits. Un feu d’artifice de rubans argentés explose alors dans le théâtre.
Un autre rappel en chanson me laissera le souvenir des deux complices rythmant la musique de deux petites cuillères qui s’entrechoquent. Cute. Au final, chacun se mettra à genoux devant l’autre pour lui retirer ses chaussures, toujours en musique façon strip-tease !
Un peu plus tard, nous voici en back stage dans la « Green Room », le coeur battant. Notre nom est bien sur la liste. Et oui c’est vrai, c’est assez grisant. Nous croisons Belinda qui s’enfuit déjà, mais aussi Jorn et Chris Stills. Barry nous accueille très gentiment et ne nous laisse pas en plan. Il va nous présenter à Rufus et lui dit que je suis celle qui, après le concert de Judy Garland à l’Olympia, l’avait défendu bec et ongles en claironnant à qui voulait l’entendre qu’il y avait mis tout son coeur, peu importe qu’il ait été malade ou non. C’est très gentil à lui, d’autant que c’est précisément le genre de choses dont on rêverait dans un monde idéal et qui n’arrive pour ainsi dire jamais dans la vie. La conversation part là-dessus pendant un moment. Rufus me demande si j’habite ici ou à Paris. Je lui dis que je l’ai déjà rencontré plusieurs fois à Paris mais visiblement, ma tête lui reste inconnue. Il demande si nous avons aimé le concert. Je lui donne mes impressions sur « Leaving for Paris », Martha qui nous manque dans les choeurs et combien il a été bouleversant sur « Minuit Chretien ». Je lui pose des questions sur son projet d’album en français et de Cabaret a Los Angeles. Il répond qu’il va se reposer un peu pour le moment. Se reposer, allons, mais il ne sait pas faire !!! Il en convient en riant. L’ambiance est très détendue. Il y a peu de monde, une vingtaine de personnes en tout. Je n’ai jamais vu Rufus aussi en forme à vrai dire. Il est bien plus mince qu’il ne l’a et5e de toute l’année, c’est saisissant. Il est juste resplendissant. Nous nous souhaitons la bonne année, et puis bon, nous sentons qu’il est temps de nous éclipser. Nous faisons une traditionnelle photo. Tant pis si la fierté en prend un coup, après tout, il s’agit d’une soirée exceptionnelle ! Et une fois de plus la preuve est faite qu’il penche plus du côté des hommes que des femmes ;-))
Voilà comment on passe le réveillon du nouvel an avec Rufus Wainwright, à Los Angeles, Californie … Le truc incroyable …
Je me pince encore en écrivant tout cela !!!
A l’accueil, une surprise de taille nous attend. Car la femme qui, au guichet, nous remet les places, nous dit : » So, here are your 2 tickets to the show, and your all-access pass ».
Boum. « Your all-access pass ». Boum Boum. Presque, je lui ferais répéter. Boum Boum Boum. Personne n’a jamais mentionné un accès back-stage. Et moi qui fait toujours de mon mieux pour laisser penser que ce genre de choses n’a rien de véritablement impressionnant, j’avoue que j’accuse le coup. Je pense que je n’ai rien amené, que je n’ai rien à lui dire, que je vais me sentir tout sauf à ma place, que ça va être horrible ; enfin bref, panique à bord.
Je reprends mes esprits et nous allons nous installer. Le public est plutôt beaucoup plus âgé qu’un public habituel de concert. Les dames du troisième âge déambulent dans les allées en manteau de fourrure et mise en plis, et devant nous un vieux monsieur au fort accent russe se racle la gorge et tousse bruyamment. On voit chez les jeunes femmes deux ou trois robes longues, mais l’ensemble est relativement décevant pour une soirée du nouvel an dans un pourtant si bel écrin.
L’orchestre nous accueille par un long instrumental. Puis Belinda Carlisle fait son entrée sous un tonnerre d’applaudissements. Je suis étonnée de la voir. Au vu de la taille respective de leurs noms sur le ticket, je m’imaginais Rufus faire une première partie et débarquer à sa place.
La belle a beau approcher les 50 ans (qu’elle atteindra cet été), vue de mon siège elle en fait bien 15 de moins. Ses cheveux sont tirés en arrière et noués en un chignon de danseuse étoile qui met en valeur son très beau visage. Elle porte un ensemble noir fluide haut et pantalon plutôt plus décontracté qu’habillé. Elle est très sympathique mais je suis tout sauf objective et je n’attends que Rufus, tandis qu’elle nous sert une pale copie de chansons de grands chanteurs francophones avec un accent qui rend les paroles incompréhensible. Elle reprendra notamment « Sous le Ciel de Paris » (Hubert Giraud, Jean Drejac), « La Vie en Rose » (Édith Piaf, Louiguy, Mack David) et pire encore « Avec le Temps » (Leo Ferré), qu’elle massacre avec application – de mon point de vue. Mais dans la salle des fans sont venus pour elle et hurlent : « on t’aime Belinda », tout en applaudissant copieusement. » You know you are a sad fan when… » Mouais. On y est.
A ma grande surprise, elle ne chante pas si longtemps, et après un excellent intermède instrumental de Django Reinhart, Rufus arrive à son tour. Il porte un costume argent qui brille de mille feux et que je ne lui ai encore jamais vu, une chemise blanche à jabot, et ses éternels sabots.
Il entame sa partie avec « Leaving for Paris » qu’il va, et j’en suis bien fâchée, finir par me faire aimer. Son jeu de piano est simplement excellent, les arrangements l’embellissent absolument, et il tient la note finale (« Good Byyyyeeee ») si longtemps que j’en ai le souffle coupé. Je parviens à voler une photo mais guère plus car une femme est assignée à ma rangée avec la mission divine de surveiller les appareils photo. Elle fait si bien son « job » je n’ai même pas pu prendre l’interieur de la salle à mon arrivée…
Il enchaine avec « la complainte de la butte » puis « Moon over Miami », accompagné d’une amie francaise qui vit à Los Angeles depuis qu’elle est enfant « mais est restée aussi française que possible », nous assure-t’il. La jeune femme a une bien jolie voix, mais bien trop douce pour ne pas se laisser écraser par l’image d’une Martha qui nous manque bien dans ces moments-la…
Vient ensuite un moment de pur délire avec une chanson québécoise pendant laquelle il veut faire participer les spectateurs. Sacré challenge puisqu’il s’agit de répéter chaque phrase alors que les paroles sont en français et que des Français, à part nous et deux musiciens, la salle ne doit pas en compter des masses. Il en faudrait plus pour le décourager. Il se met à raconter en anglais toute l’histoire de la chanson (« C’est une petite vieille que l’on à place à côté d’un jeune homme qui lui dit : désolé je n’épouse pas les vieilles », etc …) – tout le monde se tord de rire. Le moment est génial. J’ai des preuves que je vous réserve pour un peu plus tard (mais pas de video malheureusement).
Il continue à amuser la galerie en présentant « Minuit Chretien » dont l’auteur « a été excommunié ». Tout en profitant de l’occasion (ben oui, à propos d’excommunication) pour la dédier à Jorn, « mon boy-friend, qui est dans la salle. I love You Jorn ! ». Et bing, un peu de politique sans avoir l’air d’y toucher. Bien vu !
Rufus est un amuseur, un militant, mais aussi et surtout un fantastique artiste. Son « Minuit Chretien » est époustouflant. Il a une voix tellement incroyable que j’ai l’impression d’être comme Julia Robert à l’opéra dans Pretty Woman. Sa voix remplit l’espace et nous remplit aussi. Je suis toujours étonnée de ces instants, qui restent rares et d’autant plus précieux, où une voix nous fait gonfler la poitrine à nous donner l’impression d’exploser, où une intensité dans le chant nous fait frissonner et se dresser les poils sur tout le corps.
Après ça, plus grand chose n’a d’importance.
Rufus est ensuite rejoint par Belinda pour une reprise de « Bonnie and Clyde » en amateur, suivie d’une chanson en anglais, peut-être l’une des siennes cette fois.
Puis ils quittent la scène et cèdent de nouveau la place aux musiciens (excellents tout au long de la soiree, avec mention spéciale pour le pianiste, probablement connu si on juge selon l’applaudimètre) avant de revenir, pour le décompte des douze coups de minuits. Un feu d’artifice de rubans argentés explose alors dans le théâtre.
Un autre rappel en chanson me laissera le souvenir des deux complices rythmant la musique de deux petites cuillères qui s’entrechoquent. Cute. Au final, chacun se mettra à genoux devant l’autre pour lui retirer ses chaussures, toujours en musique façon strip-tease !
Un peu plus tard, nous voici en back stage dans la « Green Room », le coeur battant. Notre nom est bien sur la liste. Et oui c’est vrai, c’est assez grisant. Nous croisons Belinda qui s’enfuit déjà, mais aussi Jorn et Chris Stills. Barry nous accueille très gentiment et ne nous laisse pas en plan. Il va nous présenter à Rufus et lui dit que je suis celle qui, après le concert de Judy Garland à l’Olympia, l’avait défendu bec et ongles en claironnant à qui voulait l’entendre qu’il y avait mis tout son coeur, peu importe qu’il ait été malade ou non. C’est très gentil à lui, d’autant que c’est précisément le genre de choses dont on rêverait dans un monde idéal et qui n’arrive pour ainsi dire jamais dans la vie. La conversation part là-dessus pendant un moment. Rufus me demande si j’habite ici ou à Paris. Je lui dis que je l’ai déjà rencontré plusieurs fois à Paris mais visiblement, ma tête lui reste inconnue. Il demande si nous avons aimé le concert. Je lui donne mes impressions sur « Leaving for Paris », Martha qui nous manque dans les choeurs et combien il a été bouleversant sur « Minuit Chretien ». Je lui pose des questions sur son projet d’album en français et de Cabaret a Los Angeles. Il répond qu’il va se reposer un peu pour le moment. Se reposer, allons, mais il ne sait pas faire !!! Il en convient en riant. L’ambiance est très détendue. Il y a peu de monde, une vingtaine de personnes en tout. Je n’ai jamais vu Rufus aussi en forme à vrai dire. Il est bien plus mince qu’il ne l’a et5e de toute l’année, c’est saisissant. Il est juste resplendissant. Nous nous souhaitons la bonne année, et puis bon, nous sentons qu’il est temps de nous éclipser. Nous faisons une traditionnelle photo. Tant pis si la fierté en prend un coup, après tout, il s’agit d’une soirée exceptionnelle ! Et une fois de plus la preuve est faite qu’il penche plus du côté des hommes que des femmes ;-))
Voilà comment on passe le réveillon du nouvel an avec Rufus Wainwright, à Los Angeles, Californie … Le truc incroyable …
Je me pince encore en écrivant tout cela !!!
Remerciements éternels : Barry Taylor, l’incroyablement gentil manager de Rufus. Je n’oublierai jamais !
Et moi je me pince en te lisant !
Je suis si contente pour vous 2. Je regarde cette photo de vous 3 (la fierté? tu plaisantes!) et je n’y crois pas…
Je suis très fière de toi!
Bravo au MCT management! Ce sacré Barry ne t’a pas oublié hein ? Il t’a très bien présenté à Rufus en tout cas!
J’ai des tas de commentaires à faire et plein de questions à poser mais je me « limite » à qqs détails :
– tu commences à aimer Leaving for Paris, tu en es fâchée et bien j’en suis ravie!
– Rufus, se reposer, pfffttt… il suffit de regarder son agenda pour 2008. On le reverra certainement, il passera en Europe du nord en avril et 2-3 dates circulent pour le Royaume Uni en septembre, youpi!!! monsieur doit faire de l’argent (est-ce qu’on devra payer 60€ pour un concert solo?) avant de se retirer et composer Prima Donna.
– la chanson québécoise, c’était Rastaplan ? il l’a interprété au café de la danse http://www.youtube.com/watch?v=U-YTGIh6IK0
– le délire chaussures-strip, est-ce qu’il l’a introduit de la même façon, typiquement rufusienne, qu’au show précédent ;))) —> extrait lu sur le forum : « Belinda said her feet hurt in high heals, so Rufus said he’d take them off. they did a big dramatic bit, with Rufus slowly unlacing her shoes, etc. – and afterwards he proclaimed he was now straight – « call my mom! ». »
– vous avez eu le grand privilège d’entendre « Minuit Chrétien », c’est rare… je peux comprendre ta réaction… *soupir*
etc
Merci de partager ces moments et surtout très bonne année 2008.
Bises
Eline
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Alors, mon Isa, tu fais fort, très fort !! Débuter la nouvelle année ainsi. Mon petit doigt me dit que 2008 sera une grande année pour toi.
Plein de bizouilles
Valy
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Ben dis donc incroyable…..
J’suis super contente pour toi.
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J’y crois pas !!!! La chance (enfin tu l’as bien méritée faut dire) Et bien puisque je ne l’ai encore fait nulle part, je te souhaite une année 2008 à l’image de cette soirée !!!! Une année exceptionnelle donc !!!
Bisous veinarde !!!
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Ah, les veinards! Y avait-il meilleure façon de débuter 2008?
Bisous,
A bientôt!
Olivier
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Si avec ça 2008 n’ est pas exceptionnelle ! Tu sais quoi ? je suis bien contente pour vous, c’ est génial !
Des grosses bises et une super année.
bbmm
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Alors la veinarde!
Comme ça tu ne connais pas belinda carlisle???
http://www.surgeradio.co.uk/music/artists/2925aac9-5474-4030-b8a3-4151107010b2.html
Fais un Gros bisous à Pistilou pour moi 😉
Bises!
xav
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eh bien dites moi! « Mazette! » comme dirait ma grand mère.
Je suis super content pour vous deux…le piston c’est quand même bien des fois.
Enfin après tout l’argent que tu as fait gagner à Rufus avec ta comm’ c’était mérité!
Bonne année alors chanceuse.
je t’embrasse très fort depuis mon canapé
mouahh!
Amaury
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