
Si Coldplay avait fait de la bonne musique, Nicolas Leroux aurait pu leur faire l’honneur de chanter pour eux.
En attendant, il reste pour ainsi dire « en famille » (car certaines familles se créent en musique), illuminant de sa présence Overhead, The Fugitive Kind ou Landscape, pour la sortie de ce nouvel album.
Dans tous les cas, on reste suspendu à la beauté de cette voix, un peu voilée, un peu rauque, ou alors aigue, ou encore subtilement brumeuse et chaude, et dans tous les cas, envoutante. On s’accroche aux fêlures, on guette le souffle, l’inspiration suivante et puis celle encore d’après (et puis encore celle d’après).
Pas étonnant de lire Radiohead, Syd Matters, et Léonard Cohen dans les artistes cités en référence par les chroniqueurs de tous bords. Car de ces prédécesseurs on retrouve la poésie, le spleen, le côté planant. Et cette atmosphère unique qui coupe du réel pour une vie parallèle à faire oublier tout le reste.
Bonne écoute, et par pitié, achetez ce disque et les autres (cliquez ICI). Surtout Stone Age (The Fugitive Kind), que je trouve le meilleur du lot.
Etonnant Nicolas Leroux avec ses projets. Malheureusement, ce n’est pas demain la veille que je pourrai le voir sur scène.
J’aimeJ’aime
Et en concert au café de la danse le vendredi 29 avril à 19h30 :-))
J’aimeJ’aime
Tout à fait d’accord.
J’ai déjà l’intégrale de Square dogs et ne manquerait pas le Café de la danse.
Par contre, the Fugitive Kind n’est pas chez Square Dogs 😉
J’aimeJ’aime