
Pour ce 8ème #DéfiLivres, voici un roman qui aurait pu entrer dans plusieurs catégories : la peur, les États-Unis, le prix (Pulitzer), le voyage, le cadeau de Noël, la déclinaison…
La Route, de Cormac Mc Carthy, est tout bonnement un chef d’œuvre. Dans un monde où l’apocalypse a eu lieu, un père et son fils errent sur une route où tout est danger. Ils cherchent à atteindre la mer. Mais comme souvent, le plus important, ce n’est pas la destination, c’est la route. Qui sommes nous. Où allons nous. Qu’est-ce qui nous fait avancer. Pourquoi ? Ce récit là m’avait cueillie comme un uppercut : en me coupant le souffle.
S’il est rare de ressentir autant d’émotions lors d’une lecture, il est plus rare encore qu’un film soit (presque) à la hauteur du livre dont il est tiré. C’est pourtant le cas, et pas seulement parce que le rôle principal est tenu par Viggo Mortensen… La preuve, moi qui écrit si peu sur le cinéma, ce couple livre-film m’avait déjà arraché un article (vraiment un bon article, d’ailleurs) : https://isatagada.wordpress.com/2009/12/17/la-route-le-film/
Vous l’aurez compris, si vous avez la chance de ne pas l’avoir lu (et/ou) vu, je vous jalouse un peu d’avoir encore cette perspective.
Bonne lecture !
Tu ne publies plus sur le groupe FB ?
Excellent livre
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