Tamino au Zénith de Paris | 24.03.2023

Je me suis aperçue récemment que j’avais laissé dans mes cartons ce concert de Tamino.

La première fois que j’ai vu Tamino sur scène, c’était en août 2018 ; il avait 21 ans.

5 ans et 2 albums plus tard, après avoir gravi les échelons des salles de concert parisiennes, depuis le Café de la Danse jusqu’à l’Olympia, à la vitesse de la lumière, c’était déjà le Zénith. Et ma huitième fois.

Je vais laisser parler la musique mais bien sûr, c’était un magnifique concert. Lui, les instruments (le Oud, le violoncelle, la guitare à résonance), les musiciens (Colin Greenwood, mais surtout son professeur de Oud, qu’il était très ému de présenter), Angèle en guest, tout était parfait !

Ou presque, à cause de ce moment gênant. Lui qui n’aime déjà pas tant qu’on se focalise sur sa voix, puisqu’il n’a jamais eu à faire aucun effort, j’imagine ce que ça lui fait, quand il entend : « T’es beau »…

Le Zénith est arrivé si vite… Je l’aurais bien gardé confidentiel plus longtemps, mais il faut partager !

Vidéo de Perséphone pour commencer :

The First Disciple, avec ses paroles à la fin qui me bouleversent à chaque fois : « I’m afraid that no amount of fame / Will ever wash away the shame / Of knowing not how to love your only friend / Who will love you till the end »

Habibi, dont je collectionne les versions, toutes différentes, avec cette fois, une intro et un Oud somptueux :

Fascination :

Sunflower, avec Angèle :

W.O.T.H. (oldie but goodie !) :

My Dearest Friend and Enemy :

Mon album photo sur Flickr : https://flic.kr/s/aHBqjAFam3

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